Déjà fin janvier, vos objectifs 2020 sont fixés ou pas. Il est encore temps de passer vos mauvaises habitudes à la machine pour vous assurer une météo aussi favorable que possible pour accompagner votre performance. Avez-vous respecté ces 5 principes ?
Face à la fracture entre stratégie d’entreprise & réalité opérationnelle, êtes-vous fataliste ou réaliste sur votre marge d’action? Je fais invariablement le même constat chaque année: le thème de l’évaluation annuelle intéresse plus les lecteurs que la fixation des objectifs. Et pourtant, tout commence avec la fixation des objectifs… ou plus exactement avec la communication de la stratégie de l’entreprise.
L’environnement complexe & en mutation de nos entreprises complique le quotidien de nos managers. Comment réussir à faire performer son équipe encore & toujours dans des conditions pas forcément optimales?
Toujours ponctuels, les voici de retour : les entretiens d’évaluation annuels. Alors prêt(e) ? Assurez-vous une météo favorable même en hiver…
Les entretiens d’évaluation annuels sont de retour. Alors prêt(e) ? Retrouvez 5 principes à respecter pour des entretiens constructifs.
Après avoir peut-être lézardé, lambiné, musardé cet été, l’heure n’est plus à procrastiner, à moins d’être un procrastinateur structuré, comme John Perry… À vous de voir !
Assurez-vous une météo la plus clémente possible pour votre entretien annuel d’évaluation en réalisant une revue à mi- année de vos performances. Les 3 bonnes raisons de le faire déjà pour vous.
La plupart des stratégies ne concrétisent que seulement 63% du potentiel de performance financière attendu*. En conséquence, il y a en moyenne 37% de perte de performance…Où les entreprises perdent-elles ce potentiel?
De nombreux articles alertent sur l’inefficacité, voire la nuisance de l’entretien annuel allant jusqu’à prôner : « à la poubelle l’entretien annuel[1] ». 56% des salariés français estiment que l’évaluation de leur performance et les autres échanges reçus au cours de l’année les aident à améliorer leur performance[2]. 44% sont donc insatisfaits voire définitivement démotivés.